Les élections approchent

C’est dans quatre semaines.
Vous savez quoi ? Jetrouve que l’opposition polonaise fait penser à une publicité, à la télévision française, où un homme très énervé entre dans une agence et demande à voir le directeur. Il lui pose une question-piège, mais ce dernier, avec un grand sourire, explique que cela existe déjà chez lui. Et l’individu, dépité, ravale sa colère en disant : « Je l’aurai, un jour... Je l’aurai ! ».
L’opposition polonaise cherche sans cesse des poux dans la tête de la majorité au pouvoir, elle répand tous les jours des fake news dans la presse que la majorité contredit rapidement avec des arguments et des preuves. Et la nouvelle sensationnelle, qui devait faire tomber la majorité, se dégonfle comme un ballon de baudruche. Faire la liste de toutes les inepties qu’imagine l’opposition serait un travail fastidieux et sans intérêt. Elles tombent dans l’oubli aussi rapidement qu’elles sont venues.D’après le Dictionnaire libre sur Internet, le chef du gouvernement français en 1911-1912, Joseph Caillaux, a écrit dans ses mémoires : « Il est des adversaires politiques qui sont sans cesse à l’affût de ce qu’ils croient de nature à atteindre les hommes qu’ils guettent. Ils furètent, dans tous les coins. Ils ne reculent devant aucune petitesse. » Cela va comme un gant à l’opposition totale qui est totalement déconnectée des réalités. Et pour illustrer la majorité, je pense à la fameuse expression qui dit « les chiens aboient etla caravane passe. »

Ciąg dalszy w numerze 31/2018

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